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Caleche 13/09/2004 22:01:50 | Re: à propos d'oeillères Merci pour la question "piège" qui oblige à toujours aller plus loin. Le développement de cette question technique sur le transfert des masses s'appuie sur la disposition naturelle du cheval à ralentir dans les changements de direction. C'est aussi ce qui se passe quand tu tournes les roues avant de ta voiture hippomobile (résistance à l'avancement). Par contre si le groom pousse derrière, ta voiture tourne super bien ! Pour le cheval c'est pareil, orientes devant, mets les gaz (impulsion, toujours l'impulsion) et ça tourne aussi, incurvé en plus ! Pas d'impulsion: le cheval s'arrête. Pour aller plus loin le cheval est de loin supérieur à la voiture puisqu'il dispose de deux propulseurs indépendants: les postérieurs, alors que la voiture n'a au mieux qu'un différentiel, donc peu de poussée de la roue extérieure dans les courbes. Le but de l'exercice d' E. DE CORBIGNY est de préparer la mobilisation du postérieur interne qui va être appelé à "venir" sur la main. L'effet "tertiaire" serait alors d'obtenir que le cheval "pousse" dans ses changements de direction. Affres et bonheurs du Dressage ! PS: remarque pertinente de TORNADO. Amitiés équestres à tous deux. Calèche |